Iles Grecques : Crète, Santorin

Après quelques jours à Santorin, nous avons décidé de poursuivre nos vacances en Crète. L'année dernière, comme cela nous aurait fait faire un trop grand détour,  nous avons dû renoncer à visiter Spinalonga et le plateau du Lassithi.

Depuis, j'ai lu comme beaucoup d'amoureux de la Crète, le livre de Victoria Hislop, "l'île des oubliés" et cela m'a donné encore plus envie de voir Spinalonga.

D'abord, nous nous installons à l'hôtel "Appollinia Beach" à Amoudara près d'Héraklion. L'hôtel est top et nous profitons pendant quelques jours du soleil, de la plage et surtout d'un repos bien mérité.

Puis, nous louons une voiture chee un loueur proche de l'hôtel et partons pour Plaka d'oùn nous prendrons un bateau pour accoster à Spinalonga. Nous passons par Elounda d'où partent les visites organisées de Spinalonga. Nous continuons vers Plaka et en profitons pour admirer au passage la magnifique baie de Mirabello.

L'avantage de partir de Plaka est que la grande masse touristique part d'Elounda ou d'Agios Nikolaos. Le départ à Plaka se fait à partir de 9 h et le prix est de 8,00 € par personne. Une fois sur l'ile, il faut encore payer 8,00 € par personne (gratuit pour les enfants) pour entrer sur le site.Le tour se fait en environ 1 h 30.. Nous nous serions peut-être encore attardés un peu, mais vers 11 h l'île a été envahie de centaines de personnes alors qu'à notre arrivée entre 9 h 30 et 10 h, il y avait peu de monde. Je vous conseille donc d'y aller de bonne heure pour en profiter et ne pas vous retrouver au milieu des groupes et de leur guide. Même prendre des photos sans qu'il y ait des personnes dans le cadrage était devenu compliqué.

 29 Juin 2016 : enfin la date du départ est arrivée, après ces longs mois d'hiver et de printemps maussades. Nous sommes en manque de soleil et nous réjouissons d'autant plus de ces vacances à Santorin que nous prolongerons par une dizaine de jours en Crète.

Nous avons choisi de prendre l'avion jusqu'à Heraklion et de rejoindre Santorin par la mer. Cela nous oblige a passer la journée du 29 à Heraklion,  ville que nous n'avions encore jamais visitée, malgré plusieurs séjours en Crète. Nous avons donc réservé une nuit à l'hôtel athinaikon (69 € pour 3, petit déjeuner compris). L'hôtel est correct et a  l'avantage d'être à quelques minutes à pied du centre pietonnier, mais surtout à 10/15 mn à pied du port.

Après une nuit réparatrice et un bon petit déjeuner, départ vers le port;  Nous avions réservé les billets pour le Highspeed 7 au mois de janvier au prix de 22€ par personne au lieu de 65 € pour les billets achetés sur place. (Economie de 258 € pour l'aller retour pour 3).

 La traversée est tranquille, et nous avons la chance d'être assis à la première rangée, juste derrière la vitre. Nous sommes donc au premières loges à l'approche de la caldeira et nous nous rendons déjà compte de la beauté des paysages.

Nous logerons pour 5 nuits à la pension Flower à Oia à 87 € la nuit pour une chambre triple et 6 € le petit déjeuner.

La pension est idéalement située à l'entrée d'Oia, en contrebas de la route, donc au calme et à quelques minutes du centre (toujours à pied). Flora, la responsable sympatique, la chambre confortable et nous pourrons profiter de la belle piscine digne de ce nom.

Pour cette première journée, notre programme n'est pas très chargé comme d'ailleurs celui des jours suivants. Pendant les vacances, nous aimons prendre notre temps et apprécier tranquillement ces moments de bonheur. Nous allons faire un tour au centre d'Oia et en prenons plein les yeux.

 Le soir nous nous postons évidemment dans une ruelle et attendons avec impatience LE coucher de soleil dont tout le monde parle. Je ne sais pas si nous en attendions trop, si nous n'étions pas au bon endroit ou si nous n'avons pas eu de chance, mais j'ai déjà vu des couchers de soleil tout aussi beaux ailleurs, (sans les applaudissements et klaxons de bateaux bien sûr)

La journée à été longue. Nous retournons à la pension en nous collant contre les murs pour éviter les bus, voitures et autres quads qui quittent Oia. 

Le lendemain, nous prenons un bateau pour aller jusqu'au volcan Nea Kameni, les sources d'eau chaudes et Thirassia. Si c'était à refaire, je choisirai la formule "volcan seul" car c'est la partie la plus intéressante.

Les sources d'eau chaude n'en ont que le nom, l'eau était à 21° et avant d'y arriver il fallait sauter du bateau dans une mer à 19°. La couleur de l'eau n'était pas encourageante non plus tout comme le nombre de personnes par m2.

Thirrassia mériterait peut-être que l'on s'y attarde, mais le bateau ne vous y emmène que le temps de manger avant de repartir direction Thira puis Oia.

Ce fut quand même une belle journée. De retour à la pension, nous décidons de prendre l'apéro sur la terrasse de notre chambre afin d'y admirer le soleil se coucher en toute tranquilité.

 Le lendemain, pas de grasse matinée. Nous partons de bonne heure pour la randonnée d'Oia à Fira, soit 10 km de paysages magnifiques, 10 km à prendre des dizaines de photos, 10 km loin de la foule, 10 km d'importants dénivelés, 10 km en plein soleil, mais aussi et surtout 10 km de pur bonheur.

Les paysages qui s'offrent à nos yeux sont d'une telle beauté qu'ils en sont indescriptibles et aucune photo ne pourra rendre ce qu'il nous est donné de voir.

Le jour suivant, nous louons une voiture chez le loueur situé juste à côté de la pension. Nous nous rendons tous d'abord à Red Beach. Il est encore tôt, mais déjà pas mal de gens s'installent sur la plage. Nous prenons quelques photos et poursuivons notre route.

Ensuite, nous nous balladons au hasard des chemins avec haltes baignade, déjeuner et dégustation de vins pour arriver à Pyrgos.

Nous tombons sous le charme de ce village aux petites ruelles typiques, le plus haut perché de l'île. Nous grimpons jusqu'au sommet et nous installons sur la terrasse chez Franco's pour y déguster des Mezzes accompagnés de musique classique tout en admirant le coucher de soleil. Nous ne nous attardons pas trop, car le vent souffle très fort et devient même désagréable une fois la nuit tombée. 

Notre dernier jour a Santorin s'achève. Le lendemain nous faisons nos bagages, profitons une dernière fois de la piscine et reprenons le highspeed en direction de la Crète ou nous resterons une dizaine de jours avant de rentrer en France et déjà réfléchir au choix de la prochaine île grecque.

Le budget vacances étant un élément important pour la plupart d'entre nous, vous trouverez ci-dessous le détail de nos dépenses durant notre périple en Crète, toujours pour 2 adultes et une enfant de 11 ans.

 Les hôtels : je suis obligée de faire le détail, car les prix varient du simple au double, selon le choix que nous avions fait.

- SITIA : Sitia Beach city resort : 110 € la nuit en demi pension (2 nuits)

- ierapetra : Eden Rock - 52,- € le nuit en demi-pension (1 nuit)

- Matala : Dimitri Villas - 80 € la nuit en demi-pension (2 nuits)

- Paleochora : Megim : 30 € la nuit en petit-déj. (2 nuits)

- Kolymbari : Sellini suites - 75 € la nuit en demi-pension (2 nuits)

Total : 660 euros avec 7 repas du soir.

Les autres dépenses :

- Repas et boissons : 360 euros, sachant que nous ne nous sommes privés de rien et n'avons pas regardé à la dépense. Pour avoir une idée, un déjeuner à 3 avec apéro, vin et café revient environ à 35-40 €.

- voiture de location : 560 € pour 15 jours (nous avions choisi une voiture assez grande pour pouvoir caser nos trois valises dans le coffre et l'avons gardé pour tout le séjour).

- Essence : 160,- € (pour environ 1300 km)

- excursions : 150,- € (entrées, oarking, sortie en bateau...)

- dépenses diverses : 130,- € (souvenirs, parasol, etc...)

Voilà !  Et un grand merci à Stéphane qui note toutes les dépenses avec une grande minutie. 

Jour 10 : nous voilà arrivés au dernier jour de notre périple Crétois. Nous terminons ce voyage par la descente des gorges d'Imbros. Cette fois, pas de réveil trop matinal. Nous quittons notre Hôtel à Kolymbari pour rejoindre le soir le dernier hôtel près de Réthymnon et avons environ 1 h 30 de route jusqu'aux gorges d'Imbros. Nous trouvons facilement le parking du restaurant à l'entrée des gorges et comprenons que celui-ci est gratuit à condition de prendre une boisson au retour. (Ce que nous aurions de toute manère certainement fait.)

Zut ! Un bus vient d'arriver ! Nous nous dépêchons de commencer la descente afin de prendre un peu d'avance. 

Nous payons l'entrée qui doit être de 2 euros si mes souvenirs sont bons et croisons l'âne "ambulance".

Le chemin n'est pas très escarpé et nous apprécions de marcher à l'ombre des roches. A mi-chemin, nous faisons une pause pique-nique faite de tomates et de fruits. Nous continuons tranquillement notre ballade et le paysage devient de plus en plus impressionnant au fur et à mesure que nous descendons. Nous nous sentons tous petits face à toute cette hauteur ! 

 Et tout à coup, surprise ! Nous arrivons déjà au bout ! Comme on me l'avait dit, ces gorges ne présentent aucune difficulté et il n'est pas besoin d'être sportif pour les faire. Nous avions nos chaussures de marche, mais des baskets peuvent faire l'affaire, même si nous avons croisé des personnes en chaussures à talons !!! ou à l'inverse, en tongs !!!

A la sortie, se trouvent des tavernes qui proposent le retour vers le parking en pick up "taxi" pour 5 euros par personne. Je crois que j'ai rarement eu aussi peur en voiture que ce jour là. Par chance, nous avons choisi de nous assoir à l'intérieur et non à l'arrière en plein air. La conduite a été vraiment sportive et à chaque virage on craignait d'avoir perdu des passagers à l'arrière, sans compter les dépassement dangeureux. Jamais 18 km ne m'ont parus aussi longs et c'est un soulagement quand nous arrivons au parking.

Voilà ! Maintenant direction Parnormo où nous resterons pour 5 jours de détente et de farniente à l'Iberostar Creta Panorama.

Les prochaines vacances sont déjà prévues. Nous irons à Santorin pour 5 jours et 9 jours en Crète, mais cette fois avec un programme un peu plus "light" . Nous avons juste planifié le plateau du Lassithi et la visite de Spinalonga. Tout le reste se fera selon l'nvie du moment.

Le neuvième jour se lève. Aujourd'hui, nous allons vérifier si tous les commentaires élogieux concernant Balos sont justifiés. Nous avons deux possibilités pour nous rendre à Balos. La première est de prendre la voiture jusqu'au parking et de faire la descente à pied. L'inconvénient est la piste caillouteuse et en très mauvais état de 11 km et le risque d'abimer la voiture et de se retrouver en panne. Une fois arrivé sur le parking, il reste toute la descente à faire à pied et en plein soleil. La deuxième possibilité est de prendre l'un des ferries qui font l'aller-retour dans la journée. Certes, cela serait plus sûr, mais vous débarquez en même temps avec des centaines d'autres touristes. Nous choisissons d'y aller en voiture. Le trajet est d'environ 30 km de Kolymbari à Balos.

Nous arrivons au début de la piste où nous devons payer un droit de passage de 2,00 euros par adulte. Et c'est parti !!!

La piste est effectivement en mauvais état, mais la lumière du soleil sur la mer le matin de bonne heure est magnifique. Nous ne rencontrons que quelques chèvres en cours de route et arrivons presque les premiers sur le parking. Nous mettons nos chaussures de marche et en avant !

Nous arrivons tout en haut et là, nous avons le souffle coupé par la beauté de ce que nous voyons.

Après avoir fait nombre de photos, nous descendons jusqu'à la plage. Tout simplement magnifique. Nous allons nous baigner dans l'eau et ses différentes nuances de bleus.

. Au bout d'un moment, vers midi, nous voyons arriver le premier ferry, suivi d'un deuxième. En un rien de temps, la plage est noire de monde. Nous avons bien fait d'arriver le matin de bonne heure et décidons de rentrer à l'hôtel. Mais avant cela, il faut remonter vers le parking. La montée est très dure, le soleil tape et heureusement, nous étions bien chaussés et avions emmené de l'eau. Au parking, même topo que sur la plage. Des voitures à n'en plus finir et les gens qui attendent le départ de ceux qui partent pour prendre leur place.  Après la remontée, re- la piste et ouf ! enfin la route.

Nous avons passé une très bonne journée et avons encore emmagasiné des souvenirs inoubliables.

Le jour se lève et nous quittons Paléochora en direction de Kolombari. Nous prévoyons de nous arrêter sur l'une des plages de la côte Est.  Tout d'abord, nous prenons la route vers Sinari.

Petite halte à Sfinari.

Nous décidons ensuite d'aller jusqu'à Falassarna, réputée comme l'une des plus belles plages de l'ïle. Effectivement, le lieu est magnifique, le sable fin et l'eau turquoise. Seul bémol, et comme à Elafonissi, le vent souffle à nouveau très fort. Je pense que ce doir être le lot de toutes les plages de la côte Est.

Après avoir profité de la mer, de la plage, nous décidons de déjeuner sur place puis continuons notre route en direction de Kolymbari où nous avons réserver notre hôtel pour les 2 prochaines nuits, le Sellini Suites.

Aujourd'hui, nous n'aurons pas de long trajet à faire. Elafonissi se trouve à une trentaine de km de Paléochora et à environ 1 h 15. Nous trouvons notre chemin sans encombres et nous garons parmi les premiers sur le parking du site.

La plage est encore déserte et un paysage paradisiaque s'offre à notre vue. Le dégradé de bleus de la mer et le sable rose de la plage sont magnifiques.

Comme les autres jours, nous sommes bien contents d'être venus très tôt, la plage est encore pratiquement déserte. Nous avançons tout au bout de la presqu'ile et installons tant bien que mal notre parasol. Le vent souffle assez fort par rafales, ce qui d'un côté rend la chaleur plus supportable. L'eau est à la température idéale et nous nous amusons a observer la multitude de petits poissons qui y nagent entre les rochers.

Nous restons jusque vers 13 h et décidons de lever le camp, les visiteurs commençant à affluer. C'est seulement au retour vers la voiture que nous nous rendons compte de la foule qui est arrivée depuis le matin, la plupart restant sur les transats et près des buvettes. Le site étant très étendu, il suffit donc d'aller tout au bout pour y trouver la tranquilité.

Nous décidons de rejoindre Paléochora en passant par de petits villages dans lesquels nous nous arrêtons pour nous imprégner des paysages.

Nous déjeunons dans une ferme le long de la route et c'est certainement la seule déception de notre séjour ! D'abord, il y a énormément de vent ce qui n'est pas très agréable pour manger, mais là, personne n'y peut rien. Ensuite, la serveuse qui doit être la fille de la maison, ne cache aucunement qu'elle n'a pas envie de travailler et de nous servir. Nous l'aidons à mettre la nappe sur la table car le vent ne facilite pas la tâche, mais pas un sourire, rien.. De plus, je ne sais pas si c'était à cause du vent, mais les mouches tombaient sur la table ou dans nos assiettes. Bref ! Nous ne sous sommes pas attardés et avons continué notre chemin.

Voilà ! Notre septième journée touche à sa fin. Demain nous quitterons le sud de la Crète pour remonter par la côte Ouest vers le Nord.

Nous passons notre dernière soirée à Paléochora. Cette fois, nous dinons dans l'une des nombreuses tavernes du bord de mer et profitons encore une fois de la lumière du crépuscule.

Jour 6 : Aujourd'hui, une longue route nous attend. Pour rejoindre Paléochora, nous sommes obligés de retourner vers le nord pour ensuite redescendre au Sud (220 km et environ 4 h 30 de route).

Nous quittons notre hôtel à 8 heures et en avant ! D'abord direction Prévéli qui se trouve presque sur notre route, enfin presque... si nous ne nous étions pas perdus dans le no man's land ! Même notre GPS ne s'y retrouvait plus.

Nous arrivons sur une piste de plusieurs km qui mène à Prévéli. Nous voulions justement éviter cette piste en très mauvais état et arriver à Palm Beach par l'autre côté. On aurait du marcher un peu plus, mais la route aurait été meilleure. Je prie pour que nous n'abimions pas la voiture.

Enfin, à notre grand soulagement nous arrivons. Nous grimpons (et redescendons) les quelques dizaines de marches et nous retrouvons sur la plage.Nous n'y restons que quelques minutes et décidons d'aller nous ballader dans la palmeraie. Le chemin balisé longe la rivière qui se jette dans la mer. Nous le suivons et croisons pas mal de touristes comme nous.

Au retour, une petite baignade dans l'eau froide de la mer, mais quand même moins froide que la rivière dans laquelle nous avIons pataugé.

Nous prenons un repas léger dans l'une des tavernes; non pas celle de la plage, mais celle à côté du parking où nous avions garé notre voiture.

Puis, c'est le départ pour la longue route vers Paléochora. Heureusement, les paysages sont magnifiques et ce trajet est un plaisir pour les yeux. En fin d'après midi, nous arrivons à notre hôtel, le Megim. Cet hôtel est situé à environ 2 km de Paléochora. La chambre est minuscule, mais propre. Sur la plage de galets, de l'autre côté de la route se trouve un bar appartenant à l'hôtel. Nous y prenons l'apéro dans la lumière du soleil couchant.

Ensuite, nous nous rendons (en voiture) à Paléochora, dîner dans le restaurant conseillé par le gérant de l'hôtel (et lui appartenant). Le repas est correct et l'accueil y est sympa. (Le serveur a voulu emmener notre fille dans la cuisine lui montrer les plats, car elle n'arrivait pas à se décider !). Nous nous balladons encore un peu et rentrons à l'hôtel, fatigués par cette longue journée.

Pour le Jour 5, je ne publie pas de carte. Nous sommes encore à Matala et ne prendrons pas la voiture.

Aujourd'hui, nous nous équipons de nos chaussures de marche, de nos sacs à dos avec les affaires de plage, nous faisons un tour à Matala pour acheter des fruits et de l'eau, mais aussi l'indispensable parasol qui nous évitera coups de soleil et insolation.

Il est 9 heures et c'est parti ! D'abord nous avons un doute quant au chemin à suivre. Nous trouvons un panneau et le suivons. 

La montée est ardue, mais la vue qui nous attend nous récompense largement de nos efforts.

La descente est plus facile et la magnifique plage de Red Beach s'offre à nos yeux. Encore quelques minutes et nous voilà arrivés.

Le soleil tape très fort et l'ombre des rochers se fait de plus en plus petite au fur et à mesure que le soleil arrive à son zénith. La plage est fréquentée par des naturistes mais ne leur est pas réservée. on y trouve également une petite buvette sur la plage, mais comme nous n'y sommes pas allés, je ne pourrais pas vous la décrire.

Après cette marche en plein soleil, nous nous jetons à l'eau ! L'eau est rafraichissante sans être froide. Quel bonheur !

Après que nous nous soyons restaurés, fait une petite sieste, refait trempette dans les vagues, l'heure du retour est arrivée. De toute manière, il commence à y avoir un peu plus de monde (mais rien à voir avec la fréquentation des plages du Sud de la France en Juillet-Aout).

Le retour également est sportif ! Moi qui suis sujette au vertige, c'est un soulagement quand nous arrivons à nouveau sur le chemin vers Matala.

Nous arrivons vers 15 h à Matala et y mangeons un petit morceau. Puis, nous retournons à notre hôtel, Dimitris Villas et profitons de la piscine en attendant l'heure du diner qui, comme le jour précédent est excellent.

La nuit tombée, nous retournons à Matala (à 5 mn à pied) pour y déguster un succulent Mojito dans l'ambiance tellement seventies de ce village.

Voilà une journée bien remplie qui s'achève et que nous garderons très longtemps dans nos souvenirs.